mercredi 17 août 2011

Ennuie, toi qui reviens sans cesse.


 Un cercle, un carré en bois, une anonyme,
un jeu, des chevaux par milliers.
Une après midi, je m'ennuie.
J'ai froid. J'ai peur. Tu me manques.
La pluie, ta veste.
Ton sourire, tu me manques.
J'ai les lèvres sèches, les yeux vides.
Partageons la même vie.
Restes. Je t'en supplie, restes toujours.
J'ose pas changé de musique,
elle me fait pensé à toi.
Un ciel gris, des feuilles vertes
une ombre, des larmes, une branche,
un projet, un souvenir.
Je fume, j'expire la fumée,
mes poumons s'étouffent.
J'ai peur de moi, de toi.
Je t'aime.  

J'ai peur de la vieillesse, de la mort.



Les premiers jours, on pense plus à rien. On s'enferme dans un monde, parfait.
Et sans s'en rendre compte, on en sort plus vite qu'on le croit.
Ça nous déçoit. Ça nous fait mal. On essais de se réveiller d'un cauchemar.
Pourquoi tu pleure? Sèches tes larmes.
Tu l'aimes? Souris. Il reviendra.
C'est vrai, je mens. Il ne reviendra surement pas. Il est lâche. 
Pense à nous, à l'amitié qui nous lie. Souviens toi de nos moments de bonheurs. 
Et dis toi, que notre histoire est bien plus forte que toutes celles que tu vivras.